-36%
Le deal à ne pas rater :
WD_BLACK Disque SSD Interne 2 To – SN770 NVMe PCIe 4.0 x4 ...
109.99 € 171.72 €
Voir le deal

Aller en bas
avatar
Admin
Admin
Messages : 80
Date d'inscription : 24/03/2022
https://sites.google.com/view/ledictho/accueil

us à usnée Empty us à usnée

Dim 11 Juin - 17:53
us
des us : des usages.
des us et coutumes : des habitudes, des pratiques traditionnelles.
Pour les mots us et sus, la prononciation du s final a fait l'objet de débats : ces mots sont aussi prononcés comme abus.
Le nom (des) us vient du latin ūsus « action de se servir, usage, emploi, expérience » (de utor, voir : user) ; l'ancienne langue a employé également us au sens de « usage que l'on fait de quelque chose, emploi », du 12ème au 15ème siècles.

US
L’abréviation US est courante lorsqu’on parle des devises monétaires : le dollar US. Cette abréviation s’inspire du Code des monnaies de l’ISO qui désigne la devise américaine de la façon suivante : USD. Il semble toutefois que le sigle de deux lettres ait envahi la langue courante pour devenir un synonyme du mal aimé « américain ». Bien entendu, cet adjectif est un faux sens passé dans l’usage, qu’on le veuille ou non. Il devrait normalement qualifier les habitants du continent américain. D’ailleurs, bien des francophones parlent de l’Amérique, et non des États-Unis. En savoir plus : André Racicot. Au cœur du français.

-us
La finale latine ou d'apparence latine -us se prononce [ys] dans les mots qui suivent. Toutes les prononciations de mots latins se font à la française.
– abribus (nom déposé), acarus, acinus, adénovirus, agnus-castus (faux latinisme), airbus, altocumulus, altostratus, ambitus, amphioxus, angélus, antivirus, anus, arbovirus, arénavirus, argus, asparagus, autobus, autofocus ;
– bibus, bibliobus, bifidus, blocus (du néerlandais blokhuis ; blockhaus), bonus, borassus, bus (fausse coupe d'omnibus), byssus ;
– cactus, campus, carolus, cheveu-de-Vénus, chorus, circus, cirrocumulus, cirrostratus, cirrus, citrus, coccus, clonus (mot grec), collapsus, corpus, cosinus, crocus, cubitus, cumulonimbus, cumulostratus, cunnilingus, cursus, cytomégalovirus ;
– décubitus, détritus (la prononciation sans -s est de plus en plus courante), diplodochus ;
– échinocactus, épicanthus, eucalyptus ;
– favus, ficus, fœtus, fongus, fucus ;
– gibus, gradus ;
– habeas corpus, habitus, hantavirus, hiatus, hibiscus, humérus, humus, hypothalamus ;
– ictus, iléus (grec), infarctus, in partibus, jacobus,
– laïus, lapsus, lituus, locus, lotus, lupus ;
– malus, médius, microbus, micronucléus, minibus, mot-rébus, motus, mordicus, mucus ;
– nævus, nauplius, négus, nimbostratus, nimbus, nodus, nombril-de-Vénus, nucléus, numerus clausus, nystagmus grec) ;
– oculus, œstrus, olibrius, omnibus, opus, orémus, oribus ;
– pagus, palus, pandanus, papillomavirus, papyrus, pedibus (faux latinisme), phallus, plexus, processus, prolapsus, pronucleus, prospectus, protococcus, prunus ;
– quibus, quitus ;
– radius, raptus, rasibus (faux latinisme), rébus, rétrovirus, rhésus, rictus, risorius ;
– sanctus, sénatus-consulte sinus, (point de vue de) Sirius, stimulus, stradivarius, stratocumulus, stratus, syllabus,
– terminus, thalamus, thesaurus, thrombus, thymus, tophus, tractus, tragus, trismus, trolleybus, tumulus, tylenchus, typhus ;
– uræus, urus, utérus ;
– valgus, varus, vénus, versus, vidimus, virus, vitellus, volvulus, vulgum pecus ;
– xerus (grec).
En savoir plus : site de Dominique Didier.

usable
elle, il est usable : s'use, peut s'user.
une inusabilité : le caractère de ce qui est inusable.
elle, il est inusable :
• ne s'use pas ou s'use très peu ;
• ne s'affaiblit pas, n'est pas diminué(e) avec le temps ;
• continue à être employé(e), à servir.

Ce mot est dérivé d'user, avec le suffixe -able.

usage, usagé, usager
1. un usage :
• une coutume, une pratique, une manière d'agir ancienne et fréquente, ne comportant pas d'impératif moral, qui est habituellement et normalement observée par les membres d'une société déterminée, d'un groupe social donné ;
• une habitude, une pratique établie, propre à un groupe, à un individu ;
• une pratique habituelle d'une activité ;
• une habitude de pratiquer une activité.

les usages : les habitudes, les comportements qu'il convient de respecter, qui ne doivent pas être transgressés.
Les usages que nous allons voir maintenant appartiennent à l’ancienne langue du droit. Ils désignaient l’autorisation accordée aux habitants d’une commune de faire usage des bois, des marais et des prés communaux. À l’époque féodale, ces droits n’étaient accordés qu’en échange d’une redevance due au seigneur. Ces usages étaient strictement codifiés ; ils le furent par des édits seigneuriaux, des chartes communales, puis par le Code forestier. Ils donnèrent souvent lieu à des querelles d’interprétation et à des chicanes et firent, au XIXe siècle particulièrement, les délices de la Cour de cassation. Ils furent aussi, en partie, le sujet des Paysans, de Balzac. Le droit ancien distinguait les petits usages des grands usages. Les premiers autorisaient le ramassage des branches sèches, du bois mort et du mort-bois. Ce dernier désignait des arbrisseaux sans valeur, ne portant pas de bons fruits et dont le bois, impossible à travailler, n’était bon qu’à être brûlé : houx, marsault, épines et genêts, auquel on ajoutait souvent ce que l’on appelait le bois blanc : saule, peuplier et aulne. Les grands usages comprenaient l’affouage, le maronage, le pâturage (ou pacage) et la glandée (ou paisson). En savoir plus : Académie française.
l'usage :
• l'ensemble des bonnes manières qui caractérisent le savoir-vivre ;
• l'ensemble des règles de civilité, de bienséance observées dans une société policée.

elle est usagée, il est usagé (1) : pour une personne, connait les usages en cours dans le monde et s'y conforme.

2. un usage :
• le fait de se servir de quelque chose, d'appliquer un procédé, une technique, de faire agir un objet, une matière selon leur nature, leur fonction propre afin d'obtenir un effet qui permette de satisfaire un besoin ;
• une utilisation, un emploi de quelque chose ;
• une possibilité de se servir de quelque chose ;
• le fait de réaliser dans le discours, par la parole les éléments du langage ;
• l'ensemble des règles qui caractérisent la langue effectivement pratiquée par la majorité des usagers d'une communauté linguistique, correspondant à un groupe social donné et à un moment déterminé.

elle est usagée, il est usagé (2) : a (trop) servi, a été utilisé(e) fréquemment ou trop souvent, a fait de l'usage.
usagé / usé / usité : Office québécois de la langue française.
elle est usagère, il est usager :
• est d'un usage courant, habituel ;
• fait partie des objets usuels.

une usagère, un usager :
• une personne qui utilise un service, qui emprunte habituellement un domaine, un lieu public ;
• une personne qui utilise quelque chose, un lieu ;
• une personne qui a juridiquement un droit réel à usage ;
• une personne qui utilise une langue.

un mésusage : l'action de mésuser.
mésuser : abuser, faire un mauvais usage de quelque chose.
un non-usage ou une non-utilisation : le fait de ne pas user de quelque chose, de ne pas l'employer, de ne pas l'utiliser.
Dire le droit, c’eût été, en pays coutumier, dire l’usage. Si l’on peut rapprocher ces deux expressions, c’est parce que ce que dit le droit n’est pas une vérité éternelle, mais est soumis à l’évolution du monde et à l’épreuve du temps, de même que l’usage en matière de langue n’est pas fixé à jamais, puisqu’il évolue avec la société qui le produit. En savoir plus : Académie française.
Le nom (un) usage est dérivé du latin usus (voir : us), avec le suffixe -age, à comparer avec le latin médiéval usagium et usaticus.
LLe mot usagé est dérivé d'usage avec le suffixe -é ; l'ancienne langue avait également le verbe usagier « habituer, s'habituer (par exemple à pratiquer les armes) », également comme terme de coutume « user, jouir d'un bien, d'un droit d'usage » (14ème siècle, dérivé d'usage.
Le mot usager est dérivé d'usage, avec le suffixe -er, en ancien français, usager a été attesté au sens de « celui qui connait bien les us et coutumes ».

usance
des usances : des coutumes, des usages établis.
une usance :
• un terme de traite, un jour fixé par l'usage pour un paiement ;
• une exploitation forestière en cours ; le temps écoulé depuis une coupe.

Le nom (une) usance est dérivé d'user, avec le suffixe -ance.

usant, usé, user, useur
elle est usante, il est usant :
• use la santé, les forces ;
• épuise moralement et physiquement.

elle est usée, il est usé :
• est usagé(e), altéré(e), détérioré(e) par un usage prolongé, par des agents physiques ;
• pour un liquide consommable, a été souillé(e), est devenu(e) impropre à la consommation ;
• est diminué(e), affaibli(e) ;
• perd de sa vigueur, de sa force ;
• a perdu sa force expressive, son pouvoir évocateur à force d'être employé trop fréquemment.

elle est inusée, il est inusé : n'est pas diminué(e), affaibli(e).
user de quelque chose :
• utiliser quelque chose de façon à obtenir un effet déterminé, la satisfaction d'un besoin ;
• faire preuve de ;
• se servir de, employer, avoir recours à ;
• employer certains éléments du langage, certaines caractéristiques langagières ;
• faire usage de quelque chose avec modération.

user de quelqu'un :
• se conduire d'une certaine façon avec quelqu'un ;
• se servir de quelqu'un pour arriver à ses fins, dans un but bien déterminé.

en user avec quelqu'un : se conduire, se comporter d'une certaine manière.
user :
• utiliser, consommer ;
• utiliser un bien de consommation en le réduisant à néant ;
• utiliser jusqu'au bout ;
• détériorer progressivement quelque chose par l'usage qui en est fait et le rendre impropre à sa destination, en altérer l'aspect ;
• altérer, détériorer quelque chose en entamant sa substance par frottement, par érosion ;
• passer, épuiser une durée, une période de temps ;
• affaiblir, diminuer les forces de quelqu'un ;
• affaiblir, diminuer progressivement par une action lente et répétée ou continue.

s'user :
• se détériorer, s'abimer ;
• perdre de son efficacité, de son utilité ;
• devenir improductif, stérile à force d'utilisation ;
• devenir lisse, être altéré sous l'effet du frottement, d'une action physique.

j'use, tu uses, il use, nous usons, vous usez, ils usent ;
j'usais ; j'usai ; j'userai ; j'userais ;
j'ai usé ; j'avais usé ; j'eus usé ; j'aurai usé ; j'aurais usé ;
que j'use, que tu uses, qu'il use, que nous usions, que vous usiez, qu'ils usent ;
que j'usasse, qu'il usât, que nous usassions ; que j'aie usé ; que j'eusse usé ;
use, usons, usez ; aie usé, ayons usé, ayez usé ;
(en) usant.
elles se sont usé les chaussures, elles ont usé leurs chaussures.
je m'use, tu t'uses, il s'use, nous nous usons, vous vous usez, ils s'usent ;
je m'usais ; je m'usai ; je m'userai ; je m'userais ;
je me suis usé(e) ; je m'étais usé(e) ; je me fus usé(e) ; je me serai usé(e) ; je me serais usé(e) ;
que je m'use, que tu t'uses, qu'il s'use, que nous nous usions, que vous vous usiez, qu'ils s'usent ;
que je m'usasse, qu'il s'usât, que nous nous usassions ; que je me sois usé(e) ; que je me fusse usé(e) ;
use-toi, usons-nous, usez-vous ; sois usé(e), soyons usées, soyons usés, soyez usé(e)(es)(s) ;
(en) s'usant.

une useuse, un useur :
• une personne qui use en frottant ;
• une ouvrière, un ouvrier qui fait disparaitre les grains de la porcelaine ;
• une ouvrière, un ouvrier qui use le verre à l'émeri ;
• une personne qui épuise, use les forces, la vitalité de quelqu'un.

voir aussi : usure (2) ci-dessous
Le verbe user vient du latin populaire usare, dérivé de ūsus, le participe passé de ūter, uti « faire usage de, se servir, employer »« être en relations (avec des personnes), fréquenter, traiter (d'une certaine manière, des personnes) » « pratiquer (quelque chose), s'exercer (à quelque chose) » et « profiter de, jouir de ».

usinabilité, usinable, usinage, usine, usiner, usineur, usineuse, usinier
une usinabilité : la qualité d'une matière qui la rend propre à être usinée à l'outil.
elle, il est usinable : peut être usiné(e).
un usinage : l'action d'usiner, un façonnage d'une pièce brute pour l'amener à sa forme définitive.
Lexique de l’usinage‎ : Wiktionnaire.
un réusinage : l'opération qui consiste à retravailler le code source d'un logiciel dans le but de le nettoyer, d'en améliorer la qualité et la lisibilité et d'en faciliter la maintenance, sans en modifier les fonctionnalités. En savoir plus : Vocabulaire de l’agilité. Office québécois de la langue française.

une usine :
• un établissement industriel où l'on travaille surtout le fer, en utilisant comme principaux agents de production et de fabrication des machines mues par diverses sources d'énergie ;
• un établissement de la grande industrie où s'effectue tout ou partie d'un processus de fabrication en série d'objets ou de produits, ou bien la transformation ou la conservation de matières premières, ou bien la production d'énergie, à l'aide de machines consommant une grande quantité d'énergie de diverses sources ;
• un bâtiment ou un ensemble de bâtiments qui abritent les moyens de production, les différentes installations d'un établissement industriel ;
• l'ensemble des personnes qui travaillent dans une usine ;
• un établissement qui évoque une usine par ses dimensions, par l'activité importante qui y règne, et par la priorité donnée au rendement ;
• une activité, un système, un organisme qui produit en série à une échelle industrielle, des types identiques de personnes, de comportements, de choses.

l'usine : le système d'organisation du travail et du mode de production de la grande industrie tel qu'il est mis en œuvre dans une usine.
(en) usine (… lieu convenu) ou ENU [économie et gestion d'entreprise] En anglais : ex works ; ex works (... named place) ; EXW. Journal officiel de la République française du 24/04/2004.
une usine à gaz :
• un ensemble d'installations pour la production de gaz ;
• une construction hétéroclite ;
• un système trop complexe.

une usine-prison
un navire-usine : un navire aménagé pour le traitement en mer des produits de la pêche.

usiner :
• soumettre une matière brute ou dégrossie, pour la façonner, à l'action d'un outil et plus généralement d'une machine-outil ;
• fabriquer en série, selon les procédés industriels ;
• travailler dur, intensément, avec acharnement.

j'usine, tu usines, il usine, nous usinons, vous usinez, ils usinent ;
j'usinais, vous usiniez ; j'usinai ; j'usinerai ; j'usinerais ;
j'ai usiné ; j'avais usiné ; j'eus usiné ; j'aurai usiné ; j'aurais usiné ;
que j'usine, que tu usines, qu'il usine, que nous usinions, que vous usiniez, qu'ils usinent ;
que j'usinasse, qu'il usinât, que nous usinassions ; que j'aie usiné ; que j'eusse usiné ;
usine, usinons, usinez ; aie usiné, ayons usiné, ayez usiné ;
(en) usinant.
réusiner : retravailler le code source d'un logiciel dans le but de le nettoyer, d'en améliorer la qualité et la lisibilité et d'en faciliter la maintenance, sans en modifier les fonctionnalités. En savoir plus : Vocabulaire de l’agilité. Office québécois de la langue française.

une usineuse, un usineur :
• une ouvrière spécialisée, un ouvrier spécialisé qui travaille sur une machine-outil ;
• une personne qui travaille dur, intensément.

une usineuse : une machine-outil servant à usiner des pièces.
une usinière, un usinier :
• celle, celui qui dirige, qui exploite une usine ;
• une ouvrière, un ouvrier qui travaille en usine.

elle est usinière, il est usinier :
• est relative ou relatif aux usines ;
• concerne l'activité industrielle d'une usine ;
• est fabriqué(e) industriellement ;
• où il y a des usines.

Le nom (une) usine est un mot dialectal du Nord et de l'Est, issu (selon une évolution phonétique propre aux parlers de ces régions) du latin officina « atelier, fabrique » (voir aussi : officine). Jusqu'au 18ème siècle le mot est, d'une part, localisé géographiquement, et d'autre part, employé comme terme générique pour désigner un bâtiment dans lequel on pratiquait une activité utilisant des machines, des rouages mus par la force hydraulique. Au 18ème siècle l'usage du mot se répand, il apparait dans des documents officiels, mais comme un mot nouveau dont le sens a besoin d'être précisé. À partir des années 1830-40, le mot devient d'usage courant pour désigner l'ensemble de l'établissement industriel, des machines qui y sont implantées (quelle que soit la source d'énergie) et de l'activité que l'on y pratique dans le contexte de l'industrialisation en plein essor. La prédominance du nom usine s'explique d'une part par son statut de mot « nouveau » non marqué, comme manufacture ou fabrique par l'appartenance au concept du travail des 15ème, 16ème et 17ème siècles (de plus ces deux mots signifient originellement « fabrication, production de biens » et non « endroit où s'exerce une activité »), d'autre part, et par opposition à atelier, boutique, ouvroir, officine (qui désignent des lieux de taille réduite, où pouvaient se trouver réunies l'activité de production artisanale et la vente), son sens originel de « endroit où l'on effectue un travail à l'aide de machines » l'a rendu particulièrement apte à désigner la réalité nouvelle de l'étape industrielle.
Le verbe usiner est dérivé d'usine.

usité
A. elle est usitée, il est usité : est en usage, est utilisé(e) fréquemment.
B. une expression usitée, un mot usité : qui est en usage, qui est couramment employé(e).

elle est inusitée, il est inusité :
• n'est pas usité(e), utilisé(e), en usage ;
• ne s'emploie jamais ou presque jamais ;
• n'est pas habituelle ou habituel.

Le mot usité est emprunté au latin usitatus « en usage, familier, entré dans l'usage » (du participe passé de usitari « se servir souvent de », fréquentatif de utor, voir : user).

usnée
une usnée : un lichen à fructifications ciliées, de couleur grisâtre, qui croît généralement sur l'écorce des arbres et dont certaines variétés sont tinctoriales.
Ce nom est emprunté à l'arabe ušna « mousse, lichen ».
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum